Coups de feu à Port-Daniel : deux autres accusés

PORT-DANIEL-GASCONS

©Photo gracieuseté - Sûreté du Québec

Un homme et une femme ont été appréhendés peu avant les Fêtes en lien avec des coups de feu qui ont été tirés près d’une résidence près de la route 132 dans le secteur de Port-Daniel-Gascons.

Dans une mise à jour, la Sûreté du Québec indique que l’enquête tend à relier Maxime Hamilton, 28 ans, et Jennifer Labrie-Pelletier, 26 ans, à l’évènement survenu le 24 novembre dernier. Les deux suspects ont comparu le 19 décembre sous plusieurs chefs d’accusation, dont ceux d’avoir déchargé une arme à feu dans l’intention de mettre en danger la vie d’une personne, d’introduction par effraction dans une maison d’habitation et de possession d’arme à feu prohibée. L’enquête n’est pas conclue et est toujours en cours.

Le duo est déjà connu des forces de l’ordre. Le 12 décembre dernier, la Division des enquêtes sur les crimes majeurs avait procédé à une perquisition en matière de stupéfiant dans le secteur de la rue des Écoliers à Cap-Chat. Maxime Hamilton et Jennifer Labrie-Pelletier – tous deux de la région – avaient comparu concernant des chefs en lien avec le trafic de stupéfiants.

Quant à l’épisode de coups de feu, rappelons que le 24 novembre, peu avant minuit, les policiers du Rocher-Percé avaient été appelés suite aux détonations. Personne n'avait été blessé lors de l'événement et les suspects avaient pris la fuite. Les policiers de la Division des crimes majeurs de Chandler avaient procédé à l’arrestation d’un individu le 17 décembre dans le stationnement d’un commerce de New Richmond. Deux perquisitions avaient été effectuées dans un véhicule ainsi que dans une propriété située dans le secteur de la rue des Cèdres, toujours à New Richmond.

Réjean Couturier, un homme de 49 ans de la région, avait comparu sous plusieurs chefs d’accusation, notamment d’avoir déchargé une arme à feu prohibé, d’introduction par effraction dans une résidence privée, de possession d’arme à feu prohibé sans être titulaire d’un permis qui l’y autorise, de s’être déguisé avec une cagoule dans l’intention de commettre un acte criminel, de bris de condition ainsi que des accusations en lien avec le trafic de stupéfiants.

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